Historique

En 1980, suite à des difficultés, l’état finance le premier assainissement : on opte pour le départ à la retraite anticipée du personnel inapte, en même temps, des arrangements sur le prix de vente pour EL FOULEDH sont convenues pour maintenir l’équilibre budgétaire. En 1982, c’est la fin du programme d’assainissement et l’endettement est converti en augmentation de capital. Entre temps pour des raisons de limitation des réserves en hématite, on lance l’exploitation des carbonate de fer avec une installation de grillage sur le carreau de la mine. En 1994, les mine de la COMINO, largement déficitaires, sont confiés à la Société Djebel Djerissa pour gestion; et c’est à nouveau le commencement d’une période difficile. En 1999, l’état subventionne à nouveau la Société Djebel Djerissa. En 2001, l’activité grillage est cessé à couse du cout doublé du prix de vente du carbonate grillé. Durant le mois de septembre en 2003, un comité ministériel décide l’amélioration de la rentabilité des mines de Djerissa et Tamera-Douahria: par la cessation de l’activité des exploitations déficitaires de la COMINO, la mise à la retraite anticipée du personnel inapte et restructuration du secteur fer.

En Octobre 2004, l’activité de Boujaber est cessé suivi par Fedj lahdoum en 2005. Fin 2005, l’opération de mise à la retraite anticipée est pratiquement achevée. C’est le début d’une autre période prometteuse avec d’une part le développement du marché cimentier et d’autre part l’évolution de la technologie dans le domaine du traitement des minerais de fer pauvres, conjuguée avec les nouvelles perspectives positives du marché mondial du fer. Le bilan de plus d’un siècle ( 110 ans) d’exploitation minière du Djebel Djerissa se caractérise par une production cumulée dépassant les 45 Millions de Tonnes à une teneur moyenne de 54% en fer. La production actuelle est de l’ordre de 250.000T/an d’hématite et de sidérite (Mine de Djerissa + Mine de Tamera-Douahria). Ce ci montre bien que le premier et le seul producteur, en Tunisie, en minerai de fer est la société Djebel Djerissa.
Comme conclusion, on note bien que notre objectif dans cette partie, est de rappeler les moment les plus remarquables de l’existence de notre société. Ces moments sont souvent florissants et glorieux mais parfois difficiles aussi, ils nous aideront à analyser la situation actuelle puisque Djerissa sort justement de la période la plus difficile de son existence.
Fin 2005, l’opération de mise à la retraite anticipée est pratiquement achevée. C’est le début d’une autre période prometteuse avec d’une part le développement du marché cimentier et d’autre part l’évolution de la technologie dans le domaine du traitement des minerais de fer pauvres, conjuguée avec les nouvelles perspectives positives du marché mondial du fer. Le bilan de plus d’un siècle ( 110 ans) d’exploitation minière du Djebel Djerissa se caractérise par une production cumulée dépassant les 45 Millions de Tonnes à une teneur moyenne de 54% en fer. La production actuelle est de l’ordre de 250.000T/an d’hématite et de sidérite (Mine de Djerissa + Mine de Tamera-Douahria). Ce ci montre bien que le premier et le seul  producteur, en Tunisie, en minerai de fer est la société Djebel Djerissa.
Comme conclusion, on note bien que notre objectif dans cette partie, est de rappeler les moment les plus remarquables de l’existence de notre société. Ces moments sont souvent florissants et glorieux mais parfois difficiles aussi, ils nous aideront à analyser la situation actuelle puisque Djerissa sort justement de la période la plus difficile de son existence.